Il y a quelques jours, nous vous dévoilions notre super poster à gratter “100 idées pour aider notre planète” (on espère d’ailleurs que vous l’avez d’ores-et-déjà commandé et qu’il ornera le pied de votre sapin dans quelques jours). Pour aller plus loin, on a décidé de prendre 50 de ces 100 idées et de les passer à la loupe pour vous expliquer leur impact sur notre environnement, nos énergies et quoi faire pour faire avancer les choses. Un changement d’habitudes de consommation est un petit pas pour l’homme, un peu plus grand pour votre santé et un encore plus grand pour la planète !
En France, 54% des consommateurs se disent conscients du lien entre le réchauffement climatique et le gaspillage alimentaire. Ce dernier est responsable de 10% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, d'après le GIEC.
Le gaspillage alimentaire représente environ 30 kg par an et par habitant en France (dont 7 kg d’aliments encore emballés).
Réduire le gaspillage alimentaire doit donc devenir notre objectif n°1 pour réduire notre impact environnemental. On peut tous agir individuel en changeant nos habitudes, voici quelques gestes à faire pour réduire nos déchets alimentaires :
Le batch cooking est un outil efficace pour mettre fin au gaspillage dans notre cuisine. Finis les légumes qui moisissent au fond du réfrigérateur, car oubliés depuis les dernières courses faites à la hâte. Toutes les denrées alimentaires achetées sont utilisées et optimisées pour que rien ne se perde.
De plus, la consommation de fruits et de légumes de saison sélectionnés chez des producteurs locaux et BIO réduisent notre impact sur la planète en diminuant notre consommation de CO2 et de pesticides. Le batch cooking n’est donc pas seulement écologique et économique, mais également social et solidaire, en aidant nos petits producteurs !
Vous ne savez pas par où commencer ? On vous trouvé un super livre pour débuter dans cette nouvelle pratique :
Cette idée peut vous paraître bizarre, mais elle est plutôt efficace.
Pour vous aider à y voir plus clair, on a décidé de vous faire une petite sélection d’articles qui peuvent vous aider à trouver de super idées :
Cela peut paraître évident mais c’est pourtant l’une des raisons qui justifie le plus le gâchis alimentaire.
Avant de partir faire vos courses voici 3 conseils à appliquer :
Fabriqué à partir des déchets de jardin et de cuisine, le compost est un engrais naturel, riche en matière organique, azote, phosphore, etc. Le compostage individuel constitue en outre une activité simple, pleine d’avantages puisqu’elle permet de réduire la production d’ordures ménagères traitées par la collectivité et contribue ainsi à la préservation de l’environnement.
Pour vous aider à vous lancer dans cette belle aventure, on a trouvé un super article : https://www.rustica.fr/jardin-bio/faire-son-compost,2552.html (Pas de panique chers amis urbains : il y a également un paragraphe qui vous est dédié)
Les applications anti-gaspi luttent contre le gaspillage alimentaire en proposant à leurs utilisateurs de récupérer des aliments et même des repas invendus chez les commerçants proches de chez eux. Le tout à prix réduit.
En d’autres termes, économique et écologique, bref : le combo parfait !
Voici notre top 3 :
Il vous faut surveiller l'apparition du givre, que ce soit à l’intérieur du réfrigérateur ou du congélateur. Dès que la couche de givre atteint environ 3 mm, il faut dégivrer car cela peut représenter une surconsommation électrique de 30%.
D’après l’ADEME, à partir de 4 mm de givre, la consommation électrique de votre appareil peut aller jusqu’à doubler. Au final, en dégivrant régulièrement votre réfrigérateur ou votre congélateur, vous pouvez économiser de 10 à 30 € par an, selon l'usage et le modèle de votre appareil.
La diminution de l’empreinte écologique de notre alimentation consiste à bannir de notre assiette des plats préparés coûteux en énergie. On parle ici des produits sur-emballés ou surgelés qui impliquent des conditionnements particuliers très énergivores.
En plus, ils sont souvent très salés et bourrés de conservateurs : pas top pour la santé …
L'élevage des animaux a un fort impact environnemental.
En effet, les animaux générant de fortes émissions de méthane, gaz à effet de serre moins persistant que le CO2 mais beaucoup plus réchauffant. Produire de la viande est aussi synonyme de consommation d'eau : par exemple, pour produire 500 g de bœuf, il faut près de 7 000 litres d'eau.
Pour réduire notre impact environnemental, voici 4 choses à ne pas faire concernant notre consommation de fruits et légumes :
Sacs en coton ou autre tissu apparaissent comme l’alternative la plus durable pour aller faire ses courses : ils sont solides et légers et peuvent se laver.
Aujourd’hui, il en existe de toutes les matières, de toutes les couleurs et avec les plus beaux motifs : ainsi, nous y accordons plus de valeurs que des sacs en plastique, cela nous incite à ne pas les jeter et à les réutiliser :)
Même si certains modèles sont équipés d’une touche “décongélation”, ils restent néanmoins assez énergivores. De plus, la décongélation au micro-onde n’est pas toujours une réussite, tant concernant l’aspect, que le goût. Les aliments décongelés, et surtout la viande, peuvent donner l’illusion d’être cuits alors qu’ils ne le sont qu’en surface. Ce qui altère leur texture. Pour une famille moyenne, le fait de ne pas décongeler d’aliments au micro-ondes peut permettre d’économiser de 5 à 15 € par an.
La température idéale du frigo se situe entre 4 et 5°, jamais en dessous.
La température du congélateur doit, elle, être réglée à -18°, jamais au-dessus.
La plupart des lave-vaisselle sont équipés d’un mode de départ en différé. Cela a 2 avantages principaux :
Vous êtes encore attachés à votre bouteille d’eau ? On vous a concocté 5 arguments pour vous montrer que la bouteille d’eau est devenue “has been” :
Alors, qu’attendez-vous pour vous équiper?
Le papier aluminium n’est pas terrible pour l’environnement et il vaut mieux éviter de s’en servir.
Mais parfois, il faut quand même admettre qu’il est bien pratique. Si on l’utilise au quotidien, il faut le récupérer après chaque utilisation, le nettoyerà l’eau savonneuse, le rincer, le sécher et s’en resservir le plus longtemps possible.
On limite ainsi mieux nos déchets. CQFD.
Favoriser le commerce équitable est un moyen de contribuer au développement d'un monde plus écologique. Ces petits producteurs sont en effet formés à des techniques agricoles respectueuses de l'environnement (réduction de l'usage des pesticides, gestion raisonnée des ressources en eau,...).
En transformant vos achats quotidiens en acte citoyen, vous participez activement à changer la vie quotidienne de milliers de petits producteurs à travers le monde. Grâce à vous, ces petits producteurs pourront bénéficier de salaires décents et garantis sur la durée, ce qui leur permettra d'avoir plus de moyens pour pouvoir accéder à l'eau potable, envoyer leurs enfants à l'école, ou encore avoir accès aux soins médicaux.
Pour s’abonner à un panier bio ?
Parce qu’il existe (au moins) 7 avantages à le faire, alors pourquoi s’en passer ?
Pour les parisiens voici notre chouchou : https://www.panier-bio-paris.fr/
Pour le reste de la France : https://lescomptoirsdelabio.fr/livraison
Un bain représente l'équivalent en eau de 5 à 7 douches : une douche consomme en moyenne entre 20 et 60 litres d'eau, et un bain entre 120 et 250 litres. Prendre des douches et éviter les bains permet d'économiser de l'eau. Fermer le robinet pendant le savonnage représente une économie encore plus importante.
Une douche moyenne dure 9 minutes, ce qui correspond à 100 litres d'eau. Au niveau européen, cela représente 51 milliards de litres qui s'écoulent chaque jour. Heureusement, il existe des solutions simples pour économiser l'eau. En réduisant le temps passé sous sa douche de quelques minutes et en restant 5 minutes au lieu de 9 minutes, on économise déjà 45 litres chaque jour ! Si tous les européens réduisent leur temps de douche à 5min, on pourrait presque diviser par deux la consommation d'eau liée à la douche et économiser plus de 20 milliards de litres d'eau par jour. Au-delà de la préservation de la ressource en eau, c'est autant d'eau en moins à gérer par les stations d‘épuration.
Le site Planetoscope chiffre à 3000 tonnes la quantité de tubes en plastique de dentifrice qui partent chaque année à la poubelle à travers la planète.
Et si nous passions au dentifrice maison ?
Nos experts SPRiNG vous ont dégoté une petite recette simple à faire !
Pour cela, il vous faudra :
Ce dentifrice sera parfait en tant qu’anti-inflammatoire et antiseptique mais également pour avoir une meilleure haleine grâce au clou de girofle.
1. La cosmétique solide permet d'économiser de l'eau et de l'argent
Prenons l’exemple d’un shampoing classique, l’eau en est le principal ingrédient, allant parfois jusqu’à représenter 80% de la composition. Son utilité première : diluer la formule. Mais pourquoi acheter de l’eau lorsqu'on y a accès depuis son robinet ? Avec un shampoing solide, il suffit de mouiller ses cheveux, de frotter et faire mousser sur son cuir chevelu. Autre avantage non négligeable : dans sa version solide, un produit dure plus longtemps. Prenons à nouveau l’exemple du shampoing : un pain de 65 grammes permet le même nombre de shampooing que deux flacons liquides. Concernant les savons pour le corps, à prix équivalent, le format solide permet de prendre 4 fois plus de douches.
2. La formule d'un cosmétique solide est plus naturelle Utiliser moins d’eau veut également dire moins de croissance bactérienne : le contact des actifs avec l'eau accélère la prolifération des bactéries, levures et moisissures et rend nécessaire l'utilisation d'agents de conservation. Ces nouvelles formulations version solides permettent donc de réduire (voire de supprimer) les conservateurs synthétiques. Résultat ? Une liste d’ingrédients réduite et par conséquent ultra courte.
3. La cosmétique solide est écologique Le soin solide ne contient aucun plastique et entraîne quasiment zéro déchet, juste un emballage en papier, carton ou en cellulose que l’on peut recycler (et encore, les fans de vrac peuvent même s’épargner ce superflu). Au final ? Moins de CO2 pour le transport et que du bonus pour la planète.
Si vous n’avez pas encore sauté le pas, on vous conseille d’aller jeter un coup d'œil du côté de nos amis d’Unbottled :) Vous verrez c’est top !
Pour certains, cela paraît être une évidence. Pour d’autres, cela l’est moins. Mais il n’est pas trop tard pour commencer à y faire attention. En soi, rien de plus facile, seulement une habitude à prendre : fermer les robinets. Un robinet qui fuit laisse s’échapper 120 litres d’eau par jour environ. Imaginez-vous quelle quantité d’eau s’évapore directement dans les égouts lorsque vous laissez le robinet ouvert pendant quelques minutes ? Ce sont environ 10 litres qui s’échappent dans les canalisations à chaque brossage de dents ! Beaucoup trop !
Nous vous invitons à ne plus laisser couler l’eau lors du brossage des dents.
Nos experts SPRiNG ont réfléchi et ils ont au moins trouvé 3 avantages aux factures numériques :
3 bonnes raisons de passer au leds :
Dans le cadre de la loi sur la Transition énergétique et la croissance verte, le gouvernement incite les particuliers à réaliser des travaux de rénovation dans leur logement. Cette loi vise à favoriser les énergies propres et encourage les habitants à opter pour des solutions de rénovation qui permettent de moins polluer l’atmosphère.
Une bonne isolation des logements permet surtout de moins allumer le chauffage et lui permet de fonctionner correctement sans surchauffe. En été, une bonne isolation évite aussi de transformer les logements en hammam et d’utiliser le climatiseur, véritable bombe écologique.
Lavez à froid, à 30 °C au lieu de 60 °C.
80 % de l’électricité sert à chauffer l’eau, le lavage à froid vous permet de faire d’importantes économies. En plus des économies d’énergie, cette méthode préserve vos linges : ils sont également moins froissés et leurs couleurs sont préservées
Le meilleur moyen de faire baisser votre facture de chauffage ? Diminuer la température de votre thermostat. 1°C de moins vous donne la possibilité de réduire votre consommation énergétique de l'ordre de 7 %. Pensez donc à ne pas « surchauffer » et à adapter, si vous le pouvez, la température de chacune de vos pièces. Une température de 19°C est recommandée pour les pièces à vivre, mais 17°C peut suffire dans les chambres.
Près de 145 litres d'eau potable sont utilisés par jour et par Français. 12 % de l'énergie consommée par les logements servent à réchauffer l'eau selon l'ADEME. Pour maîtriser sa consommation d'énergie, d'eau potable et pour préserver les ressources, pourquoi ne pas stocker l'eau de pluie ?
2 idées pour réutiliser l’eau de pluie :
Aujourd'hui, presque tous les fournisseurs d’électricité proposent des offres « vertes », certifiées par des garanties d’origine.
La production d’électricité d’origine renouvelable est en général, pour l’instant, plus coûteuse que la production d’électricité d’origine fossile ou nucléaire.
Mais le coût est très variable car il dépend de l’installation de production : il est plus élevé pour les installations de production telles que les panneaux photovoltaïques ou les éoliennes, il est en revanche faible pour la plupart des barrages hydrauliques anciens dont le coût de construction est amorti.
Souscrire une offre « verte » constitue un message en faveur de la transition énergétique.
Le saviez-vous : Sur un trajet de moins de 2 H 30, voyager en train plutôt qu’en avion est plus de 100 fois moins polluant.
L’étude menée par Trainline montre en effet que, selon les trajets, le bilan carbone peut être de 124 à 151 fois moins élevé dès lors qu’il est effectué en train plutôt qu’en avion. Ces données prennent en compte les émissions émises par ces deux moyens de transports mais aussi ceux utilisés par le voyageur pour poursuivre son trajet.
A titre d’exemple, se rendre du centre de Paris (Châtelet) à Lyon (Place Bellecour) en avion émet plus de 90 kg de CO2 par personne alors que ce même trajet en train n’en rejette que 0,690 kg. Cette alternative ferroviaire est ainsi 130 fois moins émissive en CO2.
En conclusion, le report vers le train pour les trajets de moins de 2 h 30 est gagnant-gagnant-gagnant : moins de pollution, moins de temps de trajet et moins de dépenses.
Selon l’Ademe, en roulant à 80 km/h plutôt qu’à 90 km/h, il est possible d’obtenir une baisse de 30% des émissions de polluants des voitures ! Un ajustement de la vitesse qui permet également de réaliser des économies de l’ordre de 120 euros par an en moyenne. Il apparaît aussi qu’une vitesse supérieure au volant ne permet pas de gagner tellement plus de temps… Par exemple, en roulant à 90 km/h plutôt qu’à 80 km/h, pour un trajet de 11 km on gagne seulement 50 secondes pour un temps de route de 8 minutes. En outre, les limitations de vitesse permettent de réduire les accidents et leur gravité, ainsi que de fluidifier le trafic.
Selon une étude réalisée par l’ADEME, le covoiturage longue distance a un impact bénéfique sur le trafic routier. Il permet en effet une économie de 6 % des km parcourus en voiture à l’échelle d’un équipage. Autrement dit, 1 km covoituré par un équipage permet une économie de 0,06 km parcourus en voiture.
L’empreinte environnementale du vélo est quasi nulle en comparaison à la voiture. Même si l’on prend en compte sa production, le vélo présente une empreinte carbone de l’ordre de 21 grammes équivalent CO2 par km parcouru. 4 Pour cette même distance, l’impact d’une voiture thermique est estimé à 271 grammes eqCO2 par passager. Ainsi, prendre son vélo plutôt que sa voiture permet de diminuer très fortement les émissions induites par son trajet.
Pas une semaine sans qu'une opération anti-plastique ou une initiative de collecte de déchets sur les plages ne soit annoncée en France. Et si on s'y mettait ?
Les Français se mobilisent contre l'utilisation du plastique à usage unique à travers des opérations du type Plastic Attack ou No Plastic Challenge, mais font plus globalement la guerre à tous les déchets. Ces derniers mois, le plogging est par exemple à l'honneur : cette pratique, portée en France par l'association Run Eco Team, consiste à collecter des déchets traînant sur son passage durant son jogging. Les "selfie déchets" ont également fait leur apparition : dans le cadre de l'opération #1déchetparjour, certains citoyens se prennent en photo avec des détritus collectés sur leur chemin pour encourager leurs pairs à faire de même.
Bus, métro, tramway, train... les transports collectifs, c’est plus sûr, moins stressant et moins cher que la voiture en solo ! Et c'est surtout plus propre et donc bon pour le climat.
En embarquant plusieurs dizaines de passagers et parce qu’ils sont électriques ou de plus en plus au gaz pour les bus, les transports collectifs émettent moins de CO2 par personne transportée et polluent donc moins l’atmosphère : un usager du métro consomme par exemple 14 fois moins d’énergie qu’en voiture et un passager de bus émet 35% de CO2 en moins. Enfin, en solo, ces moyens de transport reviennent souvent bien moins cher que l'utilisation de la voiture. Les parkings-relais en périphérie des grandes villes peuvent aussi permettre de basculer sur les transports collectifs pour rejoindre le centre-ville.
Du point de vue environnemental, le principal effet du télétravail réside dans la diminution, voire la suppression, des trajets routiers entre le domicile et le lieu de travail. En effet, selon l’étude de l’ADEME, on note en 2020 :
Ainsi, l’ADEME estime que le bénéfice environnemental de la réduction des trajets entre le domicile et le travail est de 271 kilogrammes équivalent carbone (kg eqCO2) par an. L’agence précise également qu’une généralisation du télétravail pourrait permettre d’éviter plus de 3 millions de déplacements par semaine ainsi qu’une réduction annuelle de 3300 tonnes de CO2.
Un ordi en veille consomme plus qu'un ordi en veille prolongée, qui lui consomme également plus qu'un ordi complètement éteint.
CQFD : il ne vous reste plus qu’à l’éteindre tous les soirs en partant du bureau ;)
Concernant la pollution liée à l’activité numérique, les moteurs de recherches éco-responsables ne sont pas parfaits. Étant, pour la plupart, liés à Google, Bing ou Yahoo qui ne sont pas totalement verts, ces acteurs éthiques ne le sont pas non plus. Cependant, ils mettent en place des actions telles qu’utiliser des énergies renouvelables pour alimenter leurs data centers ou compenser leur impact carbone. La plupart de ces moteurs de recherche sont donc plus responsables de l’environnement que Google.
Mais la différence réside principalement dans l’utilisation des revenus générés. Le moteur de recherche éco-responsable Ecosia utilise, par exemple, la compensation par la reforestation. Cela signifie qu’une partie des revenus d’Ecosia sert à planter des arbres. En découlent ainsi des résultats positifs à différents niveaux (social, environnemental…). Planter des arbres peut améliorer des millions de vies partout dans le monde en créant de l’emploi, par exemple.
En 2 clics, c’est réglé, alors pourquoi s’en priver ?
Un peu comme notre idée n°22 “fermer le robinet quand je me brosse les dents”, cette idée peut vous paraître évidente.
Toutefois, ça ne l’est apparemment pas pour tout le monde au vu de certains comportements de nos collègues.
Et sinon, au quotidien ça donne quoi ?
C’est bon pour votre santé et pour l’environnement !
Si vous prenez l’escalier au lieu de l’ascenseur, chez vous et au bureau : vous évitez de consommer entre 34 kWh et 76 kWh par an.
Vous brûlez 3 kg de graisses par an supplémentaires. Pas la peine de vous inscrire au club de gym.
Vous économisez 5 et 11 € par an en électricité. Pas grand chose, me direz-vous, mais n’oubliez pas que vous montrerez l’exemple au reste de la copropriété ou auprès de vos collègues ! En outre vous réduisez les coûts liés à l’entretien de l’ascenseur (non compris dans le calcul)
Les personnes qui se tournent vers une banque verte cherchent le plus souvent à réduire (et non supprimer) leur impact écologique et ce, notamment, en redonnant du sens à leurs investissements et leur épargne. Une banque « propre » leur permettra en effet d’investir dans des projets écologiques, mais pas que. Certains établissements bancaires verts sont aussi souvent éthiques et proposent à leurs clients de participer à des projets sociaux et solidaires.
Qui plus est, les néobanques vertes essayent réellement d’être transparentes dans leurs pratiques et investissements. En rejoignant un tel établissement, vous avez donc une réelle vision sur ce qu’il advient de votre argent et sur la façon dont il est géré / circule.
Voici quelques exemples de banques éthiques :
Le changement climatique est un problème collectif complexe, mais il est encore très mal compris par l’ensemble de la population.
La Fresque du Climat permet à chacun de déclencher des actions constructives face aux enjeux du changement climatique.
Pour plus d’infos, RDV sur : https://fresqueduclimat.org/
En achetant ses vêtements en friperie, on réduit incontestablement cet impact : des vêtements qui auraient probablement fini à la poubelle connaissent une deuxième vie, sans que des ressources supplémentaires aient été nécessaires.
Un seul T-shirt en coton est responsable d’une consommation de 2700 litres d’eau.
Quant aux matières synthétiques, on estime qu’il faut environ 1,5 kg de pétrole pour fabriquer 1 kg de polyester.
Chaque fripe achetée est un vêtement qui ne sera pas produit, des matières premières et des ressources naturelles qui ne seront pas utilisées.
Une petite sélection de nos préférées :
L'industrie du textile pollue énormément. Par an, elle émet 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre. C'est plus que le trafic aérien et maritime réuni ! De quoi faire froid dans le dos…
Chaque jour, des montagnes de vêtements sont produites et inondent nos magasins. Malheureusement cela à un impact sur l’environnement, surtout quand on sait que 70% des vêtements ne seront jamais portés et qu'en France seulement ¼ des vêtements sont recyclés.
Nous pouvons aider les personnes démunies en donnant les vêtements que nous ne portons plus à des associations. De nombreux organismes ont été créés pour réceptionner les vêtements encore en bon état comme le Secours Populaire, Emmaüs ou encore la Croix Rouge. Votre t-shirt retrouvera une seconde jeunesse, porté par une personne qui en a besoin. C’est un geste simple, écologique et altruiste que nous encourageons.
Pour trouver un conteneur Le Relai au plus près de chez-soi, c’est par ici.
L’obsolescence programmée détermine une durée de vie limitée à certains équipements. À l’heure où la planète montre des signes de détresse, les déchets et équipements ménagers ou électroniques engorgent pourtant les déchetteries. Jeter est devenu un automatisme facile. Pourtant, réparer ces objets permet de faire des économies, tout en inscrivant un réel engagement pour la planète.
Notre coup de pouce : Le site CommentReparer.com vous propose via un forum, de pouvoir vous guider pour réparer vos produits défaillants. Le site RepairCafe dresse la liste de tous les sites internet et lieux physiques, vous permettant d’apprendre à bricoler en famille ou entre amis. À Paris, La Recyclerie permet aux confirmés et novices d’échanger sur les trucs et astuces de réparations, autour d’un café ou d’un repas.
Publicité, promos, crédits, obsolescence programmée… Tout nous pousse à consommer plus. Et on se laisse volontiers tenter. Acheter, c’est facile, accessible et même citoyen car on fait tourner l’économie et l’emploi.
On estime qu’acheter moins permettrait d’économiser 500 kg de CO2 par personne et par an. Quand l’objectif est de passer de 12 à 6 tonnes par personne en 10 ans, ça compte.
La location d'outils, de vêtements et de matériel dont on ne se sert qu’occasionnellement permet de réduire les dépenses et d’éviter de s’encombrer.
On ne va pas se mentir, Internet pollue, et pas qu’un peu. Rien que l’envoi d’un mail produit à lui seul 10g de CO₂. Je vous laisse imaginer la quantité de dioxyde de carbone produite par les newsletters… qui ne sont pour la plupart même pas lues par l’utilisateur.
On a trouvé un super outil pour le faire : CleanFox. Cet outil proposant à ses utilisateurs de se désabonner facilement de toutes les newsletters auxquels ils sont abonnés.
Selon son mode de vie, un individu émet une quantité plus ou moins importante de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère. Connaître la mesure de son empreinte carbone (CO2) lui permet ainsi de corriger certaines habitudes de consommation afin de réduire son impact carbone sur l’environnement.
Pour calculer la votre voici un super site testé et approuvé par la Team SPRiNG : https://nosgestesclimat.fr/simulateur/bilan
Au-delà d’être géniaux (ce qui est déjà super bien), nos produits sont meilleurs pour la santé et pour la planète.
En septembre 2021, nous avons réalisé une analyse de cycle de vie (ACV) simplifiée afin de connaître notre impact environnemental.
En choisissant SPRiNG, vous réduisez de -65% votre impact carbone sur notre catégorie de produits vs. les marques classiques de capsules de lessive.
On espère que cet article vous aura aidé à y voir plus clair :) N’hésitez pas à nous dire ce que vous en avez pensé en commentaires
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